Tous les pays du monde ont été touchés par la pandémie de coronavirus (COVID-19). Cette pandémie a apporté de nombreux changements non seulement sur la vie humaine, mais aussi sur tous les domaines. À cause du confinement mondial, la majorité des entreprises ont été fermées. Ce qui a causé également une baisse sur le développement. Quels sont les impacts sur le plan culturel ? Qu’importe la pandémie sur le patrimoine culturel ?
La pandémie COVID-19 a causé une désinformation
La pandémie de coronavirus (COVID-19) s’est accompagnée d’une épidémie d’information, une pléthore d’informations. Certains d’entre eux sont faux et d’autres vraies, ce qui rend difficile pour le public de trouver des sources solides et des actualités. La désinformation causée par la COVID-19 peut aussi mettre la santé des personnes en danger, notamment lorsque des nouvelles se diffusent sur de mauvais traitements, de mauvaises précautions, ou sapant la confiance des gens dans les institutions politiques et publiques et les services de santé.
Depuis plusieurs années, des organisations internationales et nationales s’efforcent de comprendre davantage les déroulements de la désinformation et la manière d’en diminuer la portée. Afin de lutter la désinformation, les décideurs et les citoyens doivent s’appliquer sur un environnement d’information résilient et sain. Dans cette situation, les internautes, les sites d’informations en ligne et les institutions publiques peuvent tous jouer un rôle dans la réduction de l’impact de la désinformation comme les actualités font dans ce
lien sur le plan social, économique, politique ainsi les
projets culturels.
Les effets sur le patrimoine
L’effet de la pandémie de coronavirus est dévastateur et énorme. Cela montre aussi l’humanité commune et le lien mutuel. En ce qui concerne les communautés qui contrent ou se remettent encore de la pandémie, le patrimoine est changé en une source importante de dureté, aidant à renforcer les liens et à surpasser les défis psychologiques et sociaux. Durant la dernière année, les communautés ont accommodé leur manière de pratiquer le patrimoine dans des circonstances inattendues, mentionnant la liaison à son égard et la flexibilité du patrimoine.
À l’évidence, sans ceux qui transmettent et pratiquent, il n’y a pas de patrimoine. Dans le même temps, les restrictions imposées afin de freiner la propagation du coronavirus (COVID-19) rappellent qu’il ne peut pas progresser en l’absence des pratiques héritées des anciens. L’épidémie a marqué la valeur du
patrimoine culturel incorporel et la grandeur que les copropriétés accordent à leur expression et à leur pratique continue.
Les effets de la pandémie covid-19 sur la culture
La pandémie de la COVID-19 a durement touché la
diversité culturelle et les domaines des arts à travers le monde. La fermeture des monuments historiques, d’organisations culturelles et de musées a privé les gens d’une exposition culturelle, mais également de bénéfices importants. Pendant la pire période de confinement mondial, la majorité des pays (90 %) ont fermé leurs plateformes qui sont classées à l’ensemble de biens culturels et naturels tenus à jour par l’UNESCO.
Les impacts à long terme et moyen sont importants, parce que le nombre des sites culturels ou naturels provient des revenus du tourisme pour des archéologiques ou des activités de conservation. En conséquence, le maintien de certaines institutions et actifs peut être affecté. En outre, le pillage et le braconnage ont également augmenté. En particulier, les musées ont été touchés par l’épidémie : pendant la crise, 90 % de ces musées ont fermé, et 1/8 au minimum pourrait ne jamais rouvrir leurs portes. La suppression des
projets culturels, pratiques traditionnelles, événements religieux et culturels locaux ou nationaux, cérémonies, festivals et fêtes a causé un impact direct sur la cohésion sociale, sur la structure et sur les communautés.